Réinterprétation personnelle de l’album amicorum, carnet personnel dans lequel on recueillait autrefois des contributions pouvant prendre de multiples formes : autographe, mot d’amitié, citation, poème, dessin, gravure, aquarelle, broderie, notes de musique, mèche de cheveux…
Les alba amicorum trouvent leur apogée à la fin du XVIème siècle. D’abord réservés à des cercles masculins imprégnés de noblesse et de culture savante, ils se diffusent progressivement. Ils se présentent pour la plupart comme des livres reliés, renfermant pour les plus élégants des feuilles de papiers décorés, marbrés ou silhouettés en marge desquels ou sur lesquels sont laissées les contributions amicales.
Techniques : Reliure – Marbrure Pièces uniques Reliure à la japonaise, feuilles marbrées à la main s’intercalant avec des papiers unis blancs et/ou colorés, papier buvard.